© Rascal et Claude K.DUBOIS/ Les 400 coups
Cassandre est la meilleure amie de Marie-Paule. Elle est très jolie, la plus gâtée par le Père Noël. Mais elle n'est jamais satisfaite.
Sur les bords de mer, Marie-Paule monologue. Elle parle de son prénom, de l'affection familiale, de la transmission et aussi de ces cadeaux chargés de sens.
L'enfant est seule, avec son poupon Martin, quelques fois le chien. Elle réfléchit. A Cassandre bien-sûr, elle (nous) parle de leur échange de poupées pour un week-end: une "pipi-caca" qui ne sait dire que "papa", "maman", faire pipi et possède toute une panoplie d'habits, contre Martin, aux habits faits maison mais aussi aux conversations infinies.
Marie-Paule parle de son amitié, de celle portée à Martin, de celle portée à Cassandre.
Sur les bords de mer, Marie-Paule monologue. Elle parle de son prénom, de l'affection familiale, de la transmission et aussi de ces cadeaux chargés de sens.
L'enfant est seule, avec son poupon Martin, quelques fois le chien. Elle réfléchit. A Cassandre bien-sûr, elle (nous) parle de leur échange de poupées pour un week-end: une "pipi-caca" qui ne sait dire que "papa", "maman", faire pipi et possède toute une panoplie d'habits, contre Martin, aux habits faits maison mais aussi aux conversations infinies.
Marie-Paule parle de son amitié, de celle portée à Martin, de celle portée à Cassandre.
© Rascal et Claude K.DUBOIS/ Les 400 coups
Toutes les pages entourent le sentiment d'amitié. Une amitié enfantine mais vraie. De celle qui remplit d'affection, de tendresse, de dévouement, de don.
Il est aussi question du sens des cadeaux, des échanges, des transmissions familiales.
Toutes les pages entourent le sentiment d'amitié. Une amitié enfantine mais vraie. De celle qui remplit d'affection, de tendresse, de dévouement, de don.
Il est aussi question du sens des cadeaux, des échanges, des transmissions familiales.
© Rascal et Claude K.DUBOIS/ Les 400 coups
Sur fond de marrée basse, l'enfant déambule dans l'estuaire et les illustrations de Claude K.DUBOIS nous montre sa solitude, mais pas la morose, l'assumée peut-être même souhaitée... la nature, les laisses de mer, les châteaux de sable ont autant de valeur que sa chambre.
Les crayonnés aquarellés sont ici plus flous, moins précis que dans certains livres de cette illustratrice. Les émotions ne viennent pas forcément des expressions du visage mais plus du vent, de la distance, de l'humidité avec du grain, comme du sable.
Les crayonnés aquarellés sont ici plus flous, moins précis que dans certains livres de cette illustratrice. Les émotions ne viennent pas forcément des expressions du visage mais plus du vent, de la distance, de l'humidité avec du grain, comme du sable.
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